Chapitre 93 : Quetty se réveille !
Je suis désolée pour le délai entre les chapitres. Car, non, non, je n'ai pas abandonné mon Legacy mais c'est que je suis une femme, un rien occupée et surtout j'ai la loose avec les microbes, après l'otite pour le jour de l'an, j'ai chopé la grippe en février et j'avais autant d'énergie qu'une limace. Donc maintenant que ça va mieux (enfin ne parlons pas trop vite...) reprenons :
Et on reprend dans la joie avec notre cher *tousse-tousse...et s'étrangle** Maximus-le pourri- entrain de faire...bah ce qu'il sait faire le plus, trahir ma jolie Quetty...
Fais genre tu bouquines tranquille.
Maximus : bah oui, pourquoi ?
Non, pour rien.
Maximus : tu diras à Quetty que je passe chez un collègue avant de rentrer.
Oui, oui (tu parles).
(Un collègue, disait-il...mais c'est rigolo, il a l'air de se prendre un savon, bien fait)
Heureusement que Quetty à l'amour de ses enfants parce que si on compte sur l'autre...
Non mais vas-y tranquille, maintenant il les ramène à la maison. Ca va Maximus ?
Maximus : oh ça va, une fois ce n'est pas la mort. C'est pour s'amuser.
Et traumatiser les enfants ça t'amuse ?
Maximus : rooh, elle a 3 ans elle ne s'en rappelera pas.
Elle non...
Même pas je commente. 'fin si, elle est mal habillée et en plus elle est moche
Maximus : casse-toi !
C'est demandé si gentiment...Quetty !!!!!!
Maximus : quoi ?!! Mais espèce de...
Quetty : je comprends mieux pourquoi Anouck pleurait...Espèce d'ordure ! Et toi la traînée, dégage de chez moi !
Quetty : tu es un pourri et encore je reste polie ! Comment as-tu osé ? J'avais des doutes mais je ne voulais pas y croire. Je te préviens, tu me le paieras !
Quetty : et tiens, tu veux que je te dise. Quand maman est morte, tu m'as délaissé, alors je suis tombée dans les bras de notre homme de ménage qui a su me réconforter, lui. Et c'est comme ça que sont nées Anouck et Beth. Mais c'est arrivé une fois, je m'en voulais, mais toi, combien de fois m'as-tu trahi, juste pour le plaisir ?
Quetty : voilà tout ce que tu mérites !!!
Ah merci Quetty, je rêvais de le faire moi-même !
Quetty : et toi, espèce de morue, lâche mon fils !
Brenda : il crève de faim ton môme.
Quetty : tu n'aurais pas couché avec mon ordure de mari, je ne serais pas là à perdre mon temps et j'aurais pu m'occuper correctement de mon fils, alors maintenant DEGAGE !!!
Brenda : tu crois que tu me fais peur ? Tu veux te battre ?
Quetty : attends-voir toi !
Quetty : tiens prends ça !
Quetty : t'as compris maintenant ? Alors barre-toi !
Brenda : ok, ok, je m'en vais. Je suis désolée.
Ah ! Là, Quetty, on voit que tu es une DANIELS !
Quetty : mais carrément. Je vais lui faire bouffer les pissenlits par la racine à Maximus s'il recommence.
Ouais ! Je t'aiderai avec plaisir. Je suis fière de toi ma Quetty !